Pour compléter mon rêve naïf...
Au regard (et à l’oreille) de Tati, j’ajouterais la sagacité
de Sempé, l’humour poétique de Tardieu et l’autodérision tout azimut de Larry
David (Curb your enthousiasm), bref, de quoi confectionner un bouquet d’humour
qu’il suffirait de téléporter dans un avenir où règnerait la pagaille bon enfant
qui ressemble à celle de 1941, de Spielberg (qui fut un four à sa sortie).


Commentaires
Enregistrer un commentaire